OM – Laurent Abergel est le vrai produit du centre de formation

Dans l’attente d’une éventuelle prolongation ou d’un possible départ, Boubacar Kamara est certainement le meilleur joueur sortie du centre de formation de l’Olympique de Marseille.

Ces dernières années, l’Olympique de Marseille a tenté d’améliorer le retard concernant son centre de formation. Pablo Longoria et Frank McCourt ont accordé plus de temps afin de former des jeunes joueurs. Boubacar Kamara semble l’exemple parfait pour montrer qu’il est possible de sortir des joueurs de qualité. On peut tout de même noter les noms de Maxime Lopez, Lucas Perrin ou Isaac Lihadji, qui font actuellement une belle carrière. Toutefois, le consultant du Phocéen Bastien Cordoleani estime que le vrai produit du centre de formation est Laurent Abergel, qui évolue désormais à Lorient.

« Une de mes plus grosses fiertés pour Marseille, c’est Laurent Abergel »

« Boubacar Kamara, c’est une évidence. C’est un pur produit de la formation de l’OM. C’est facile d’emmener un joueur comme ça dans le monde professionnel. Une de mes plus grosses fiertés pour Marseille, c’est Laurent Abergel. Un produit marseillais à 100 %, qui fait une superbe carrière. C’est un mec que tu as formé, qui n’était pas une évidence. Surtout athlétiquement, il avait du retard chez les jeunes, avant de se développer plus tard. C’est plus difficile de former un joueur comme Abergel que Kamara. Et c’est là qu’on peut juger un centre de formation, de développer des Laurent Abergel, des Lucas Perrin, que des Boubacar Kamara, des Maxime Lopez et des Samir Nasri. Car c’est facile de les emmener au haut niveau, parce qu’ils y sont déjà » Source : BFM Marseille

A l’avenir, l’OM devrait former d’avantage de jeunes talents si le club investit autant dans le centre de formation. Espérons qu’on puisse avoir un nouveau Boubacar Kamara.

A lire aussi :

• OM – Un partenariat Sète/Marseille ? Bastien Cordoleani est emballé
• OM – Cordoleani : « Luan Peres est apparemment intelligent et facile à intégrer »
• OM – Bastien Cordoléani : « Le prix de Rongier ? Un milliard »