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Jacques Henri Eyraud
©Photo Icon Sport

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OM – Ce sponsor pourrait causer des ennuis au club

Déjà en difficultés financières, et sous le joug d’une amende de l’UEFA, l’Olympique de Marseille serait sur le point de recevoir une bien mauvaise nouvelle qui risque une nouvelle fois de faire perdre de la liquidité au club phocéen.

Visiblement, cette saison le sort semble s’acharner de plus en plus sur l’OM. En effet, après une fin de saison truffée d’incertitudes quant à l’effectif disponible pour la saison 2020-2021, au vu du budget limité du club, le club a réussi à sortir de cette mauvaise passe en recrutant 5 joueurs sans dépenser des sommes folles et surtout affiche un résultat plutôt satisfaisant (6ème).

Aujourd’hui, une nouvelle est venue assombrir cette « petite » éclaircie qui se faisait sentir. D’après les infos du magazine Capital, le contrat signé avec IQONIQ l’un des sponsors du club, pourrait porter préjudice à la bande à Eyraud. En effet, d’après le magazine,

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« Jacques-Henri Eyraud s’est-il montré négligent lors de la signature du contrat avec IQONIQ, l’un des sponsors maillot depuis février 2020 du club qu’il préside ? Au regard de la loi française c’est bien possible, car l’entreprise utilise l’image du club phocéen pour la promotion d’une Initial Coin Offering (ICO), une levée de fonds utilisant les cryptomonnaies. Cette opération consiste à proposer aux investisseurs (particuliers ou non) d’acquérir des jetons numériques développés par IQONIQ (des “IQQ”) avec des cryptomonnaies bitcoin ou ether. Les IQQ sont censés offrir des récompenses aux utilisateurs (maillots, billets de matches, etc.) et un rendement mensuel à hauteur de 10% des revenus de l’entreprise.Le problème, c’est que la réglementation est très claire à l’égard des ICO depuis l’adoption de la loi Pacte en 2019 : “Toute opération de parrainage (le sponsoring entre dans ce cadre, ndlr) ou de mécénat est interdite lorsqu’elle a pour objet ou pour effet la publicité, directe ou indirecte, en faveur​ d’une offre au public de jetons”. Une exception est possible si l’entreprise est titulaire d’un visa délivré par l’Autorité des marchés financiers (AMF), l’organisme public chargé de protéger les investisseurs. Mais, selon nos informations, IQONIQ n’a jamais déposé de dossier en ce sens. »

Un nouveau dossier épineux sur lequel l’OM aurait volontiers passer son tour.

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